Frédérique Baron est une astrophysicienne qui se passionne pour la recherche de planètes autour d'autres étoiles que le Soleil, et pour la communication scientifique. Elle est titulaire d'un doctorat de l'Université de Montréal et elle est actuellement médiatrice scientifique à l'Observatoire du Mont-Mégantic et à l'Institut de recherche sur les exoplanètes.

Laboratoire artistique (atelier)

Romina Barreto est née en Uruguay. Elle a fait son baccalauréat et sa maîtrise en neurosciences à l'Universidad de la República dans son pays natal. Elle est arrivée au Québec en 2018 pour faire son doctorat en neurosciences à l'Université Laval. Elle étudie les maladies neuro-dégénératives comme la sclérose latérale amyotrophique et la maladie d'Alzheimer depuis plus de 7 ans. Romina est une chercheuse très motivée et passionnée qui travaille chaque jour en essayant de contribuer à améliorer la qualité de vie des personnes touchées par ces maladies. Elle a consacré une grande partie de sa vie au travail communautaire, en essayant toujours d'aider les communautés les moins privilégiées. Depuis son arrivée au Québec, elle fait partie du comité étudiant de son centre de recherche et d’IWS (Immigrant & International Women in Science), un réseau qui vise à créer un environnement collaboratif pour les femmes scientifiques immigrantes qui favorise l'équité, la diversité et l’inclusion de ces dernières au Canada.

Communication scientifique : place à la diversité (atelier)

Christophe Bedos est un chercheur en santé publique, à la Faculté de médecine dentaire de l'Université McGill, qui adore la bande dessinée. Il l'utilise dans ses cours comme dans ses activités de recherche. Il est un des initiateurs du comité Art & Science du RSBO et de sa résidence artistique.

Laboratoire artistique (atelier)

Adélard Benjamin est agent de projet pour le secteur Territoire et Ressources du Conseil des Innus de Pessamit. Il est membre de la Table des partenaires de la Chaire de leadership en enseignement en foresterie autochtone de l'Université Laval. Il travaille notamment sur différents projets d'aménagement et de conservation du territoire touchant à divers enjeux forestiers, fauniques et environnementaux. Il est aussi président de l'organisme d'archéologie Arché-Mamu Côte-Nord. Diplômé en science politique, Adélard Benjamin a été professeur en histoire générale et en études amérindiennes. Il a aussi occupé un poste de conseiller élu au Conseil des Innus de Pessamit de 2000 à 2014.

Science et savoirs autochtones (atelier)

Olivier Bernard (B.Pharm, M.Sc) pratique la pharmacie depuis 2004 en milieu communautaire. Il est détenteur d’une maîtrise en recherche dans le domaine de la pharmacogénétique (2006). Depuis 2012, il se consacre à des activités de communication scientifique pour le grand public et les professionnels de la santé, en tant qu’auteur et illustrateur du site web Le Pharmachien et des livres du même nom. En 2015, il a été récipiendaire du Prix Innovation de l’Ordre des Pharmaciens du Québec pour l’aspect innovateur de son travail. En 2019, il a reçu à Londres le Prix international John Maddox pour avoir défendu la science dans l’adversité, en lien avec son travail dans le dossier de la vitamine C injectable au Québec. Depuis 2016, il scénarise et anime la série documentaire télé Les Aventures du Pharmachien sur ICI Explora. En 2020, il a réalisé le balado Dérives : le rituel de sudation, sur Radio-Canada OHdio. (Crédit photo : John Maddox)

La polarisation dans les communications sur les réseaux sociaux (atelier)

Diplômée de l’École nationale supérieure de chimie de Paris et journaliste scientifique depuis 1990, Valérie Borde a reçu de nombreux prix de journalisme, dont la prestigieuse Bourse Michener-Deacon 2017 pour le journalisme d’enquête. Elle codirige aussi le Centre d’excellence Déclic sur le dialogue entre les scientifiques et le public (Centre Déclic) qu’elle a fondé en 2018 pour créer des occasions de rencontres entre des chercheurs et la population, et enseigne le journalisme scientifique à l’Université Laval, à Québec.

Comment communiquer la science en temps de pandémie ? (plénière)

Détenteur d’une maîtrise en anthropologie de l’Université Laval, Julien Chapdelaine a occupé différentes fonctions aux Fonds de recherche du Québec (FRQ) depuis 2006. Il y agit maintenant comme conseiller stratégique, Médias sociaux, pour la Direction des communications et de la mobilisation des connaissances. Il alimente et développe les médias sociaux des FRQ et du scientifique en chef du Québec, et se tient à l’affût des occasions d’innovation pour valoriser la recherche.

La polarisation dans les communications sur les réseaux sociaux (atelier)

En 3e année au doctorat en psychologie du travail et des organisations à l’Université de Sherbrooke, Anabel Cossette Civitella travaille actuellement à documenter les conditions de travail et les problématiques de santé mentale des journalistes, journalistes indépendants et travailleurs autonomes. Elle a été journaliste et recherchiste indépendante de 2013 à 2018, avant de se tourner vers la psychologie. Comme journaliste, elle s’est intéressée notamment à la santé mentale, la vie au travail et les modes de vie alternatifs pour Planète F, la Gazette des femmes, Oxygène, Le Devoir et bien d’autres. Elle a été membre du CA de l’AJIQ (2014-2018) et lauréate de la bourse Fernand-Seguin en journalisme scientifique (2013).

Communication scientifique et santé mentale (atelier)

Amélie Drainville a remporté le prix Porteur d’espoir 2020 du mouvement Jour de la Terre Québec. Membre du comité environnement de sa municipalité, La Visitation-de-l’Île-Dupas, elle a initié plusieurs projets comme la patrouille verte ou l’aménagement d’une forêt nourricière. Lors de ses études en environnement et en politique à l’Université de Sherbrooke, elle devient co-porte-parole du groupe La Planète s’invite à l’université qui milite pour la lutte aux changements climatiques. De ses convictions environnementales naît son engagement politique, tant à l’échelle municipale que provinciale. Amélie est coordinatrice du parti Québec Solidaire dans le comté de Berthier et s’est présentée aux élections partielles de sa communauté en 2020. Elle rédige présentement son mémoire de maîtrise sur les politiques publiques québécoises en agriculture.

Génération transition (plénière)

Natalie M. Fletcher est docteure en philosophie et pédagogie, et travaille comme praticienne et théoricienne en philosophie pour jeunes dans les contextes scolaires et parascolaires. Elle est professeure associée à l'Université de Montréal et coordonnatrice scientifique de l'Institut Philosophie Citoyenneté Jeunesse. Natalie est la directrice fondatrice de Brila (www.brila.org) un organisme de bienfaisance qui développe la pensée critique et l’imagination engagée chez les jeunes du préscolaire au collégial par l’entremise de dialogues philosophiques et de projets créatifs, ou son approche originale de Philocréation™. En plus d’avoir enseigné à l’Université Laval et au Cégep John Abbott, elle dirige des formations en animation philosophique à tous les niveaux à travers le monde. Elle a siégé aux comités exécutifs de divers organismes internationaux de philosophie pour jeunes, et a publié de nombreux articles et chapitres dans le domaine, incluant un essai qui a remporté le prix international de recherche en philosophie pour enfants. Elle vient de compléter un stage postdoctoral en philosophie pour jeunes et sa recherche actuelle porte sur les dimensions éthiques et politiques des pratiques philosophiques durant l’enfance et l’adolescence. Natalie M. Fletcher voit les petits philosophes à qui elle s’adresse non pas comme des adultes en devenir, mais comme des agents de changements à part entière.

Discours et pensée critique (atelier)

Bettina Forget est une artiste, chercheuse et éducatrice basée à Montréal. Bettina est la directrice du programme d’artiste en résidence (AIR) de l’Institut SETI. À ce titre, elle facilite la collaboration entre les artistes et les chercheurs du SETI, met en avant la pratique de la recherche art-science et établit un réseau de partenaires institutionnels actifs dans les domaines de l'art, de la science et de la technologie. Elle est actuellement candidate au doctorat en éducation artistique à l'Université Concordia, où elle examine comment la recontextualisation de l'art et de la science peut perturber les stéréotypes de genre. Le travail créatif de Bettina explore les sujets de l’astronomie, de la science-fiction et du féminisme. Elle a exposé ses œuvres aux États-Unis, au Canada, en Allemagne, en Islande, à Singapour et au Nicaragua. Née en Allemagne, Bettina a étudié à la Central St-Martins School of Art de Londres, en Angleterre, à la Curtin University de Perth, en Australie et à la Nanyang Academy of Fine Arts de Singapour.

Laboratoire artistique (atelier)

Petite, Laure Garancher voulait être « chercheuse en biologie ». Après quelques mois passés dans un laboratoire à manipuler des rats, elle comprend que cette voie n’est pas pour elle. Il va lui falloir du temps pour « trouver sa voie ». D’abord diplômée comme ingénieur agronome, spécialisée en nutrition et santé publique, puis comme anthropologue, elle part travailler quelques années pour l’Organisation mondiale de la santé au Vietnam. Ses missions la conduisent ensuite en Afrique du Sud, puis dans les Caraïbes. Le soir, quand elle enlève son uniforme d’expert technique en santé publique, elle se met à dessiner des bandes dessinées. Son but : partager à travers ses histoires une réalité qu’elle a eu la chance de connaître grâce à son travail. Convaincue que le dessin a le pouvoir de faire passer les idées différemment et surtout, nourrie d’expériences et de rencontres faites grâce à ses carnets de voyage jusqu’au fond de l’Amazonie, elle arrive finalement à associer ses deux vies en créant l’association « The Ink Link » qui propose aux ONG d’utiliser la bande dessinée sur le terrain pour communiquer. Il semblerait qu’elle ait trouvé sa voie…

Communication scientifique : place à la diversité (atelier)

Eliane Grant est étudiante à la maîtrise en écologie à l’UQAT et biologiste au département des ressources naturelles de la Première Nation Crie de Waswanipi. Ses recherches portent sur les perturbations du territoire qui affectent les pratiques culturelles et les espèces fauniques d'intérêt pour les Eeyouch (Cris). Elle réalise également différents projets fauniques et environnementaux avec la communauté de Waswanipi. et apporte son soutien aux consultations gouvernementales.

Science et savoirs autochtones (atelier)

Alexis De Lancer est journaliste à Radio-Canada depuis 2004. Il a été tour à tour reporter, chroniqueur à la revue de presse à RDI Matin et chef d'antenne à ICI RDI. Il a aussi été envoyé spécial à Washington pour couvrir l'investiture de Donald Trump et chef d'antenne aux JO de Rio et Pyeongchang. Alexis anime présentement Les décrypteurs sur ICI RDI, une émission qui lutte contre la désinformation sur les réseaux sociaux. Il est également animateur de la balado Ça s’explique sur ICI Première, un rendez-vous matinal pour mieux comprendre les grands enjeux d’actualité. Tout récemment, il est retourné sur son île natale, la République dominicaine, pour le documentaire Mémoires d’une île.

La polarisation dans les communications sur les réseaux sociaux (atelier)

Étudiante en géographie environnementale, Sandrine Giérula s’implique pour la Coalition étudiante pour un virage environnemental et social (CEVES), le collectif de la société civile pour la COP26 et réalise un documentaire sur la résilience climatique. Son activisme prend racine dans le mouvement scout dès son plus jeune âge, puis s’intensifie à l’école secondaire par sa participation aux comités verts et humanitaires. Sa passion pour le droit international l’amène à devenir formatrice pour les simulations des Nations Unies au Collège André-Grasset. En 2019, elle intègre la cohorte Jeunes leaders pour l’environnement d’Environnement Jeunesse (ENJEU) où elle s’envole vers Madrid pour la COP25. Le documentaire qu’elle prépare sur la transition écologique se veut comme une lettre ouverte du peuple au gouvernement. Selon elle, ce sont par des images inspirantes, par la science et la mobilisation citoyenne qu’une réelle transition pourra s’imposer.

Génération transition (plénière)

Daniel Ha est dentiste, et bédéiste à ses heures. Dans la nature, on peut le trouver dans le métro, casquette sur la tête en lisant une bande dessinée. Un des rares spécimens à ne pas avoir délaissé la lecture pour le téléphone intelligent !

Laboratoire artistique (atelier)

Rebecca Hennigs détient un baccalauréat multidisciplinaire en études européennes de l’Université de Passau en Allemagne, et une maîtrise en biogéosciences de l’environnement de l’Université Laval. Elle a travaillé en adaptation aux changements climatiques et en mobilisation des connaissances pour le ministère de l’Environnement de la Nouvelle-Écosse, le consortium Ouranos et plusieurs organismes autochtones (Institut de développement durable des Premières Nations du Québec et du Labrador, Société Makivik, Administration régionale Kativik). Depuis l'automne 2019, elle travaille à la chaire de recherche Littoral comme agente de mobilisation des connaissances à l'interface environnement / santé humaine. Ce travail lui permet de se pencher sur les enjeux nordiques et autochtones et de sensibiliser différents acteurs à des problématiques environnementales en développant des ateliers et une panoplie d’outils de partage des connaissances.

Science et savoirs autochtones (atelier)

Vincent Larivière enseigne les méthodes de recherche en sciences de l’information et la bibliométrie. Titulaire d’un doctorat en sciences de l’information (McGill), il a effectué un stage postdoctoral au Département d’information et de bibliothéconomie de l’Université de l’Indiana. Il est également titulaire de la Chaire de recherche du Canada sur les transformations de la communication savante et vice-recteur associé (planification et communication stratégiques) à l’Université de Montréal.

Comment communiquer la science en temps de pandémie ? (plénière)

Joël Leblanc, formé en science, déformé en communication scientifique. Fait du journalisme scientifique depuis 21 ans, baigne dans l'éducation scientifique non formelle depuis 16 ans. Dans la presse écrite, sur le web, à la radio, en conférences, dans des manuels scolaires, tente par plusieurs moyens d'allumer l'intérêt pour les sciences dans le grand public. À ses débuts, voulait rehausser la culture scientifique, tente maintenant plutôt d'éveiller à l'esprit critique. De présentateur de découvertes scientifiques, il tente maintenant plutôt de montrer les rouages de la science en marche.

Discours et pensée critique (atelier)

Julia Lévy-Ndejuru est une nutritionniste passionnée par la question de l’inclusion. Sa clientèle est principalement composée de personnes d'origines diverses, préoccupées par leur poids, qui cherchent à améliorer leur relation à la nourriture et à leur corps. Elle s'appuie sur les principes de l’alimentation intuitive et la philosophie Health-At-Every-Size® (approche inclusive à l'égard du poids) dans une optique intersectionnelle pour les aider à retrouver le plaisir de se nourrir sans culpabilité et à faire la paix avec leur corps. Julia anime également des ateliers et conférences portant sur ces approches. Convaincue de leur importance, elle travaille à les faire rayonner au Québec depuis plusieurs années. Pour ce faire, elle a écrit dans différents blogues, dont monÉquiLibre, et a donné des entrevues à différents médias.

Communication scientifique : place à la diversité (atelier)

Marie-France Marin détient un doctorat en neurosciences de l’Université de Montréal et une formation postdoctorale du Massachusetts General Hospital, Harvard Medical School. Elle est chercheure au Centre de recherche de l’Institut universitaire en santé mentale de Montréal et professeure au département de psychologie de l’Université du Québec à Montréal. Elle s’intéresse aux mécanismes par lesquels le stress et la peur agissent sur la mémoire et le comportement. Elle étudie diverses populations en santé, de l’enfance à l’adulte, et s’intéresse également aux troubles anxieux et au trouble de stress post-traumatique. Elle s’implique dans diverses activités de transfert de connaissances afin d’outiller le grand public sur les thématiques du stress, de la peur et de la mémoire.

Communication scientifique et santé mentale (atelier)

Roxane Martel-Perron est Directrice de l’éducation et du développement des compétences au Centre de prévention de la radicalisation menant à la violence (CPRMV). Elle est titulaire d’une maîtrise en gestion du développement international et de l’action humanitaire de l’Université Laval et d’une maîtrise en criminologie de l’université de Montréal, où elle s’est intéressée rôle du soutien social dans les trajectoires de désengagement d’anciens membres de mouvements d’extrême droite au Canada. Mme Martel-Perron s’intéresse à la prévention depuis plusieurs années, ayant collaboré avec les Nations unies, des gouvernements locaux et nationaux, ainsi que des ONG, dont le Centre international pour la prévention de la criminalité. Elle est membre du réseau pancanadien Canadian Network for Research on Terrorism, Security & Society (TSAS).

La polarisation dans les communications sur les réseaux sociaux (atelier)

Nicolas Martin est producteur et animateur de l'émission de vulgarisation scientifique La Méthode scientifique et des Idées claires, qui démêlent chaque semaine le vrai du faux dans une vidéo et un podcast. Nicolas Martin a été professeur de lettres avant de se réorienter vers la radio. Il a débuté sa carrière comme journaliste à France Bleu avant de devenir chroniqueur sur France Inter. Il devient ensuite rédacteur en chef de l'émission culturelle Entrée libre, diffusée sur France 5, avant de rejoindre à nouveau France Culture, d'abord comme chroniqueur puis comme producteur de l'émission La Méthode scientifique en 2016. (Crédit photo : Radio France / Christophe Abramowitz)

Discussion avec Nicolas Martin, animateur de La méthode scientifique à France Culture (plénière)

Patrice Potvin est professeur en didactique des sciences et de la technologie à la Faculté des sciences de l'éducation de l'Université du Québec à Montréal (UQAM). Ancien enseignant (7 ans), il a également œuvré dans le développement de nombreux programmes de formation. Titulaire de la Chaire de recherche sur l’intérêt des jeunes à l’égard des sciences et de la technologie (CRIJEST) et directeur de l’Équipe de recherche en éducation scientifique et technologique (EREST), ses intérêts de recherche et de développement portent sur l’intérêt des élèves à l’égard des sciences, l'apprentissage des sciences en contexte ouvert, l’apprentissage assisté par ordinateur, la formation des enseignants ainsi que le changement conceptuel selon une approche neuroéducative (contrôle cognitif, inhibition et engagement). Auteur de plus de 360 publications et communications (dans des revues telles que Studies in science education, Frontiers in Human Neuroscience, Research in Science Education, Journal of Research in Science Teaching, etc.), il a récemment publié, aux Presses de l’Université Laval, le livre Faire apprendre les sciences et la technologie à l’école : Épistémologie, didactique, sciences cognitives et neurosciences au service de l’enseignant. En 2014, il a été nommé membre de la Société Royale du Canada. (Crédit photo : Émilie Tournevache)

Discours et pensée critique (atelier)

Clinicienne-chercheuse et titulaire de la Chaire de recherche du Canada en prévention des infections, Dre Caroline Quach est professeure titulaire dans les départements de Microbiologie, infectiologie & immunologie et de Pédiatrie de l’Université de Montréal. Elle est professeure associée au Département d’Épidémiologie, biostiatistiques et santé au travail de l’Université McGill et collaboratrice scientifique à l’École de Santé Publique de l’Université libre de Bruxelles (ULB). Elle est l’officier en Prévention & Contrôle des infections (PCI) du CHU Sainte-Justine où elle est également microbiologiste- infectiologue. Elle est aussi présidente du Comité consultatif national en immunisation de l’Agence de santé publique du Canada.

Comment communiquer la science en temps de pandémie ? (plénière)

Étudiant.e en architecture et passionné.e de design écologique, Zy fait partie de la cohorte de Jeunes leaders pour l’environnement d’Environnement Jeunesse (ENJEU) 2019-2020. Pendant cette année au sein d’ENJEU, Zy donne des conférences sur la crise climatique et organise une exposition photo pour sensibiliser la population. En 2018, on lui remet la médaille du Lieutenant-gouverneur pour la jeunesse pour souligner son influence positive dans sa communauté. Et ses implications vont au-delà de la cause environnementale. Mise sur pied du programme d’accueil d’étudiant.es réfugié.es du Cégep du Vieux Montréal, militant.e pour les droits des groupes LGBT+ … Zy s’engage pour lutter contre toute forme d’injustice !

Génération transition (plénière)

Louis T est reconnu pour la qualité de ses textes et son côté attachant sur scène. Il se démarque par son humour engagé et collé à l'actualité. Il a mis en œuvre et anime deux films documentaires sur l’autisme, Apprenti autiste, produit par Urbania et diffusé à Télé-Québec, ainsi que Aiguille sous roche, diffusé en mars 2021. Après un premier one-man-show intitulé « Objectivement parlant », il présentait, juste avant la pandémie son deuxième spectacle solo, « Vérités et conséquences », très bien reçu par la critique. Intéressé par tout ce qui l’entoure, il fait partie de la nouvelle génération, consciente du rôle qu’un humoriste peut occuper. Il nous partage sa vision des choses, percutante, intelligente, mais toujours drôle ! (Crédit photo : André Beaupré)

Discussion avec Louis T, humoriste (plénière)

Directeur intérimaire du département de médecine sociale et préventive et directeur des Programmes de bioéthique à l’École de santé publique de l’Université de Montréal (ESPUM). Bioéthicien de formation, Prof. Williams-Jones s’intéresse aux implications socio-éthiques et politiques des innovations en santé dans divers contextes. Sa recherche examine les conflits qui peuvent surgir dans la recherche universitaire et la pratique professionnelle, en vue de développer des outils éthiques pour gérer ces conflits quand ils ne peuvent pas être évités. Ces projets en cours se concentrent sur les questions de déontologie, de l’éthique de la santé publique, l’intégrité scientifique et l’enseignement de l'éthique. Prof. Williams-Jones dirige le Laboratoire de bioéthique expérimentale (LaBioethX), est co-responsable pour l’Axe Éthique de l’Observatoire international sur les impacts sociétaux de l’IA et du numérique (OBVIA) et est l’éditeur en chef de la Revue canadienne de bioéthique.

Communication scientifique et santé mentale (atelier)

Après avoir fait de l’animation auprès des jeunes et travaillé en formation dans un organisme de coopération internationale, Dominic Boudreau a complété sa formation en physique et obtenu une maîtrise en neurobiologie. Pendant son doctorat en neurobiologie, il a eu l’occasion de mettre à profit ses intérêts et sa formation scientifique au sein de l’équipe du CDSP. Depuis 2013, il est coordonnateur scientifique de cet organisme voué à la promotion de la culture scientifique.

Discours et pensée critique (atelier)

Marine Corniou est journaliste scientifique depuis 15 ans, dont 10 au sein du magazine Québec Science. Elle a aussi travaillé comme pigiste pour plusieurs médias grand public en France et au Québec, ainsi que pour la presse médicale. Titulaire d’une maîtrise en biologie moléculaire, elle s’intéresse en particulier aux sujets de médecine et de santé publique et couvre la crise de la COVID-19.

Comment communiquer la science en temps de pandémie ? (plénière)

Simon Coutu est journaliste et réalisateur. Il travaille aujourd'hui comme reporter pour le service de l'information de Radio-Canada. Il a aussi participé à l'ouverture du bureau de VICE Québec, où il a travaillé pendant cinq ans. Il préconise une approche immersive de terrain qui donne une voix à ceux qui en ont rarement. Intéressé par le monde interlope, il n'hésite pas à aborder des sujets sensibles tels que la fraude, l'univers carcéral, la drogue et le contrôle des armes à feu. Ses reportages et documentaires (Cannabis illégal, Anticosti: la ruée vers le gaz de schiste) se sont mérité de nombreuses distinctions, dont cinq prix Gémeaux et un prix Judith-Jasmin.

La polarisation dans les communications sur les réseaux sociaux (atelier)

Pendant les sept premières années de sa carrière, Julie Dirwimmer a été responsable de communications et relations publiques à l’Association francophone pour le savoir – Acfas, où elle a notamment coordonné les consultations pour l’établissement de la Politique nationale de la recherche et de l’innovation en 2012. Elle a continué à cultiver son intérêt pour les politiques scientifiques au bureau du scientifique en chef du Québec, au sein duquel elle s’intéresse au conseil scientifique aux gouvernements. En matière de relations avec la société, Julie Dirwimmer a mis en place la programmation grand public du congrès de l’Acfas, lancé le concours Ma thèse en 180 secondes et conçu les Journées de la relève en recherche. Elle travaille actuellement à renforcer l’engagement citoyen en recherche aux Fonds de recherche du Québec. Enfin, elle est active sur la scène littéraire et culturelle québécoise, sous le nom de Madame Cosinus.

Discussion avec Louis T, humoriste (plénière)

Biochimiste de formation, Marianne est devenue journaliste scientifique en 2015 grâce à la bourse Fernand-Seguin. Depuis, elle a collaboré à plusieurs émissions de radio, publié un livre sur le microbiome, coanimé le magazine Électrons Libres à Télé-Québec, et scénarisé la série web Pourquoi?, dont l'animation lui a valu un Gémeaux. Elle fait actuellement partie de l'équipe de Carbone, une équipe de Radio-Canada qui crée des reportages vidéo dédiés à l'environnement.

Communication scientifique et santé mentale (atelier)

Matthieu Dugal est journaliste, chroniqueur et animateur depuis plus de 20 ans. Il a notamment animé l’émission de culture numérique La Sphère de 2011 à 2018, sur les ondes d’Ici Radio-Canada Première ainsi que la série Hackers, présentée en 2016 sur Ici Explora. Il anime depuis septembre 2018 Moteur de recherche, une émission techno-scientifique sur les ondes d’Ici Radio-Canada Première, en plus de tenir la chronique techno dans l’émission de Pénélope McQuade à la même antenne.

Discussion avec Nicolas Martin, animateur de La méthode scientifique à France Culture (plénière)

Curieux de nature, Martin Patenaude-Monette s’intéresse à la recherche scientifique, aux questions sociales et à la politique. Il voit en la bande dessinée un puissant médium alliant texte et image, parfait pour aborder des sujets complexes. Il aime autant travailler sur des projets de vulgarisation scientifique que sur des bédéreportages.

Laboratoire artistique (atelier) & Science et savoirs autochtones (atelier)

Emilie Senécal-Léonard est lauréate du deuxième prix de la bourse Fernand-Seguin 2019. Son implication comme journaliste bénévole à MAtv Montréal est à l’origine de sa passion pour la communication et la vulgarisation. Après sa maîtrise en génie énergétique à l’École Polytechnique de Montréal, elle fait le saut vers le journalisme scientifique. Ses sujets de prédilection : l’environnement et l’agriculture. En 2021, elle devient analyste en changement climatique pour le secteur agricole tout en poursuivant ses activités journalistiques.

Génération transition (plénière)

Jean-Patrick Toussaint est biologiste de formation, détenant un doctorat en sciences environnementales. Son parcours professionnel passe de la recherche universitaire au travail au sein d’organisations non gouvernementales nationales et internationales œuvrant en environnement. Travaillant actuellement à la Fédération Canadienne des Municipalités (FCM) comme conseiller principal aux affaires francophones, il a également œuvré à la Fondation David Suzuki en tant que Chef des projets scientifiques, ainsi que chez Future Earth à titre d’agent scientifique. En plus d’avoir publié plusieurs articles scientifiques et quelques chapitres de livres révisés par les pairs, il tient également une chronique chez Québec Science depuis 2019, et a publié un premier livre sur le passage des études doctorales vers le milieu du travail en 2019.

Communication scientifique : place à la diversité (atelier)

Pendant les sept premières années de sa carrière, Julie Dirwimmer a été responsable de communications et relations publiques à l’Association francophone pour le savoir – Acfas, où elle a notamment coordonné les consultations pour l’établissement de la Politique nationale de la recherche et de l’innovation en 2012. Elle a continué à cultiver son intérêt pour les politiques scientifiques au bureau du scientifique en chef du Québec, au sein duquel elle s’intéresse au conseil scientifique aux gouvernements. En matière de relations avec la société, Julie Dirwimmer a mis en place la programmation grand public du congrès de l’Acfas, lancé le concours Ma thèse en 180 secondes et conçu les Journées de la relève en recherche. Elle travaille actuellement à renforcer l’engagement citoyen en recherche aux Fonds de recherche du Québec. Enfin, elle est active sur la scène littéraire et culturelle québécoise, sous le nom de Madame Cosinus. Elle préside le congrès 2021 de l'ACS.

Allocutions d’ouverture du congrès (plénière) & allocutions de clôture et remerciements (plénière)

Luc-Alain Giraldeau exerce les fonctions de directeur général de l’Institut national de la recherche scientifique (INRS) depuis septembre 2017. Éthologue de réputation internationale, ce spécialiste de l’évolution et de la théorie des jeux s’est intéressé tout au long de sa carrière au comportement animal et à la vie en groupe, ainsi qu’à ses conséquences pour l’apprentissage et la cognition. Gestionnaire, professeur et chercheur prolifique, il se distingue également par ses qualités exceptionnelles de
vulgarisateur scientifique.

Allocutions de clôture et remerciements (plénière)

Christian Riel a 30 ans d'expérience dans la création et la prestation de programmes de promotions des sciences au sein d’organisations de recherche publiques et privées. Il canalise actuellement sa passion pour la communication scientifique au Conseil de recherches en sciences naturelles et en génie du Canada.

Allocutions d’ouverture du congrès (plénière)

Laurène Smagghe travaille dans la rédaction du magazine scientifique Les Débrouillards depuis 2008. Titulaire d’un master de journalisme scientifique et d’un baccalauréat en neurosciences, elle est passionnée par la science, la vulgarisation et l’écriture, et elle apprécie particulièrement mettre ses compétences au profit des enfants. Elle occupe le poste de présidente par intérim de l'ACS.

Allocutions d’ouverture du congrès (plénière) & allocutions de clôture et remerciements (plénière)