* Toutes les heures indiquées sont basées sur l'heure Canada/Eastern EDT.

  • 08:00

    Canada/Eastern

    08:00 - 08:30 EDT
    Espace central

    Accueil et café

    08:30

    Canada/Eastern

    6 sessions parallèles
    08:30 - 11:30 EDT
    Salle 7

    Colloque du CEEP (3ème partie)

    8 h 30 à 9 h 30 Arrivée des participantes 9 h 30 à 11 h 30 Assemblée annuelle du CEEP

    08:30 - 11:30 EDT
    Salle 6

    La psychiatrie entre vulnérabilité et émancipation : approches historiques et philosophiques (1ère partie)

    La psychiatrie, l’histoire de la psychiatrie et la philosophie de la psychiatrie contemporaine se sont certainement montrées sensibles à des questionnements liés aux thèmes des limites du soin, de l’empowerment, de la vulnérabilité, de la pathologisation et de l’oppression, mais aussi des possibilités d’émancipation amenées par la thérapeutique. C’est donc dans une posture interdisciplinaire, inclusive et critique que nous aimerions pousser cette réflexion sur l’évolution du rapport qu’entretint la psychiatrie avec ces notions de vulnérabilité et d’émancipation.

    08:30 - 12:00 EDT
    Salle 5

    L’éthique appliquée dans les milieux de pratique : rétrospective et prospectives (1ère partie)

    Profitant du 50e anniversaire de la SPQ, ce colloque souhaite porter un regard rétrospectif et prospectif sur l’éthique appliquée dans les milieux organisés (milieux professionnels, milieux de travail, milieux de pratique et tous types d’organisations) au Québec dont l’ancrage premier a fortement été associé au milieu philosophique. Depuis les années 1990, en effet, s’est imposé un courant d’éthique appliquée qui avait pour objectifs de répondre à la demande sociale d’éthique et aux besoins de régulation éthique exprimés par des milieux organisés. C’est donc dans une perspective d’intervention auprès des milieux organisés que s’est développée une conception de l’éthique appliquée qualifiée de pragmatiste par ses principaux instigateurs. Au cours des 30 dernières années, une diversité de préoccupations pratiques et théoriques a animé et motivé chercheur.es et intervenant.es qui dessine les étapes du développement et de l’évolution de la réflexion autour de cette conception de l’éthique appliquée : le débat autour de l’éthique appliquée comme discipline philosophique; une série de paradigmes régulatoires (autorégulation/hétérorégulation, réflexion/conformité, contrôle coercitif/contrôle habilitant, contrôle/capacitation) se raffinant et se complétant les uns les autres; l’éthique des pratiques d’intervention et les pratiques d’intervention en éthique; le passage d’une éthique professionnelle centrée sur l’autorégulation des personnes à une éthique organisationnelle qui prend en compte les défis posés par le contexte dans lequel exerce le professionnel; un intérêt pour les facteurs psychosociaux qui entrent dans la réflexion et dans la décision; la théorisation d’un cadre pragmatiste; etc. L’enfilade de ces thèmes montre une perspective de plus en plus interdisciplinaire qui relève peu à peu d’une dédisciplinarisation de l’éthique appliquée dans les milieux organisés, tout en démontrant sa transversalité. Où en sommes-nous aujourd’hui? Connaît-on un essoufflement de la recherche en éthique appliquée aux milieux organisés, ou de l’intérêt pour l’éthique dans ces milieux qui se traduit par un manque de relève dans ce domaine? Ou cette conception de l’éthique appliquée est-elle engagée sur de nouveaux chantiers encore peu visibles? Quel est son avenir? Quelles formes, quels thèmes, quelles problématiques, quels chantiers se dessinent à l’horizon?

    08:30 - 11:30 EDT
    Salle 2

    Philosophie, écologie et évolution : écosystèmes et normativités

    Cette table ronde mettra en discussion différentes perspectives de la philosophie de l’écologie. Notre visée sera de mettre en relief divers angles relatifs aux enjeux conceptuels qui traversent l'écologie des écosystèmes ainsi que la potentielle portée normative qui en découle. Le déploiement des sciences écologiques se trouve tiraillé dans une tension entre la formulation de concepts rigoureux et la nécessité de répondre à la crise environnementale par l'attribution de normes qui guideront l'action. Autrement dit, il s'agit de savoir si les concepts scientifiques déployés par les écologues et les philosophes de la biologie et de l'écologie permettent de savoir si, concernant des écosystèmes, certains événements peuvent être considérés comme normaux, ou bien si certains états de fait sont souhaitables ou indésirables. Nous proposons ainsi d’explorer si des telles normes peuvent être trouvées à même les touts écologiques comme les écosystèmes. Afin d'examiner cette question, nous nous intéresserons à la question de l'équilibre et la stabilité des écosystèmes, à la possibilité d'une normativité inhérente aux fonctions de ceux-ci, ainsi qu'à l'aspect téléologique de telles fonctions. Cette table ronde propose donc une relecture critique des concepts clés de la philosophie de la biologie et de l'écologie à l'aune de la normativité et donc de son potentiel à orienter l'action. Cette table ronde s’inscrit dans le cadre du projet “Protéger les écosystèmes: Approches philosophiques”, coordonné par Antoine C. Dussault et financé dans le cadre du programme du FRQSC “Projet de recherche en milieu collégial”.

    08:30 - 11:30 EDT
    Salle 1

    Quelle philosophie politique? Approches, perspectives et méthodes de la recherche émergente (1ère partie)

    La philosophie politique contemporaine semble constamment tiraillée entre son appartenance à la philosophie et sa proximité avec d’autres disciplines qui, à la manière de l’anthropologie, de la sociologie ou encore de la science politique, se proposent de réfléchir le politique. Les débats suscités par la question de son statut et de sa pratique à partir des années 1990 ont d’autant plus accentué cette ambivalence qu’ils ont ouvert la voie à un réinvestissement de la philosophie politique depuis ces disciplines connexes. Ce réinvestissement aura non seulement impliqué une certaine recomposition de la philosophie politique, mais aussi une réappropriation des savoirs issus de ces disciplines. Considérant ce double mouvement de réinvestissement et de réappropriation, il est possible de faire l’hypothèse que la philosophie politique est désormais vouée à prendre une inflexion qui l’oblige à parler autrement du politique. Autrement en ce qu’elle la rend étrangère à son objet et permet ainsi de le reconsidérer, mais autrement aussi en ce qu’elle la rend étrangère à elle-même et l’amène à interroger ce qu’elle est et ce qu’elle fait. Pour réfléchir à cette hypothèse et ses implications, ces tables rondes tenteront de répondre aux questions suivantes : pourquoi continuer à faire de la philosophie politique? Plus encore, qu’est-ce que c’est que de faire de la philosophie politique aujourd’hui? Comment est-ce qu’elle se pratique? Et qu’est-ce que cette pratique nous dit de ce que la philosophie politique est appelée à devenir?

    08:30 - 11:30 EDT
    Salle 4

    Session de communications individuelles (D)

    Président de séance : Étienne Groleau.

    11:30

    Canada/Eastern

    11:30 - 13:00 EDT
    Cafétéria du Cégep

    Diner

    13:00

    Canada/Eastern

    13:00 - 14:00 EDT
    Salle 7

    Conférence plénière : Dominique Leydet

    Présenté par Dany Rondeau. Crise climatique et institutions démocratiques : quelle place et quel rôle pour les assemblées citoyennes?

    14:00

    Canada/Eastern

    6 sessions parallèles
    14:00 - 17:00 EDT
    Salle 6

    Colloque du CEEP (4ème partie)

    L’édition 2024 du colloque du CEEP se tiendra dans le cadre du congrès annuel de la Société de Philosophie du Québec (SPQ) les 3 et 4 juin au Cégep Saint-Jean-sur-Richelieu. Pour faire suite à l’édition 2023 du colloque du CEEP, qui portait sur le premier de la séquence des cours de philosophie au collégial, Philosophie et rationalité, et ayant pour titre Pourquoi les Grecs?, le comité organisateur de l’édition 2024 lance un appel à communications autour de thèmes et de questions portant sur le second cours de la séquence, soit L’être humain. L’orientation générale est de porter un regard critique sur certains idéaux philosophiques propres à la modernité : la raison, l’humanisme, l’universalisme, la liberté, l’égalité.

    14:00 - 17:00 EDT
    Salle 4

    La psychiatrie entre vulnérabilité et émancipation : approches historiques et philosophiques (2ème partie)

    La psychiatrie, l’histoire de la psychiatrie et la philosophie de la psychiatrie contemporaine se sont certainement montrées sensibles à des questionnements liés aux thèmes des limites du soin, de l’empowerment, de la vulnérabilité, de la pathologisation et de l’oppression, mais aussi des possibilités d’émancipation amenées par la thérapeutique. C’est donc dans une posture interdisciplinaire, inclusive et critique que nous aimerions pousser cette réflexion sur l’évolution du rapport qu’entretint la psychiatrie avec ces notions de vulnérabilité et d’émancipation.

    14:00 - 17:30 EDT
    Salle 5

    L’éthique appliquée dans les milieux de pratique : rétrospective et prospectives (2ème partie)

    Profitant du 50e anniversaire de la SPQ, ce colloque souhaite porter un regard rétrospectif et prospectif sur l’éthique appliquée dans les milieux organisés (milieux professionnels, milieux de travail, milieux de pratique et tous types d’organisations) au Québec dont l’ancrage premier a fortement été associé au milieu philosophique. Depuis les années 1990, en effet, s’est imposé un courant d’éthique appliquée qui avait pour objectifs de répondre à la demande sociale d’éthique et aux besoins de régulation éthique exprimés par des milieux organisés. C’est donc dans une perspective d’intervention auprès des milieux organisés que s’est développée une conception de l’éthique appliquée qualifiée de pragmatiste par ses principaux instigateurs. Au cours des 30 dernières années, une diversité de préoccupations pratiques et théoriques a animé et motivé chercheur.es et intervenant.es qui dessine les étapes du développement et de l’évolution de la réflexion autour de cette conception de l’éthique appliquée : le débat autour de l’éthique appliquée comme discipline philosophique; une série de paradigmes régulatoires (autorégulation/hétérorégulation, réflexion/conformité, contrôle coercitif/contrôle habilitant, contrôle/capacitation) se raffinant et se complétant les uns les autres; l’éthique des pratiques d’intervention et les pratiques d’intervention en éthique; le passage d’une éthique professionnelle centrée sur l’autorégulation des personnes à une éthique organisationnelle qui prend en compte les défis posés par le contexte dans lequel exerce le professionnel; un intérêt pour les facteurs psychosociaux qui entrent dans la réflexion et dans la décision; la théorisation d’un cadre pragmatiste; etc. L’enfilade de ces thèmes montre une perspective de plus en plus interdisciplinaire qui relève peu à peu d’une dédisciplinarisation de l’éthique appliquée dans les milieux organisés, tout en démontrant sa transversalité. Où en sommes-nous aujourd’hui? Connaît-on un essoufflement de la recherche en éthique appliquée aux milieux organisés, ou de l’intérêt pour l’éthique dans ces milieux qui se traduit par un manque de relève dans ce domaine? Ou cette conception de l’éthique appliquée est-elle engagée sur de nouveaux chantiers encore peu visibles? Quel est son avenir? Quelles formes, quels thèmes, quelles problématiques, quels chantiers se dessinent à l’horizon?

    14:00 - 17:00 EDT
    Salle 1

    Quelle philosophie politique? Approches, perspectives et méthodes de la recherche émergente (2ème partie)

    La philosophie politique contemporaine semble constamment tiraillée entre son appartenance à la philosophie et sa proximité avec d’autres disciplines qui, à la manière de l’anthropologie, de la sociologie ou encore de la science politique, se proposent de réfléchir le politique. Les débats suscités par la question de son statut et de sa pratique à partir des années 1990 ont d’autant plus accentué cette ambivalence qu’ils ont ouvert la voie à un réinvestissement de la philosophie politique depuis ces disciplines connexes. Ce réinvestissement aura non seulement impliqué une certaine recomposition de la philosophie politique, mais aussi une réappropriation des savoirs issus de ces disciplines. Considérant ce double mouvement de réinvestissement et de réappropriation, il est possible de faire l’hypothèse que la philosophie politique est désormais vouée à prendre une inflexion qui l’oblige à parler autrement du politique. Autrement en ce qu’elle la rend étrangère à son objet et permet ainsi de le reconsidérer, mais autrement aussi en ce qu’elle la rend étrangère à elle-même et l’amène à interroger ce qu’elle est et ce qu’elle fait. Pour réfléchir à cette hypothèse et ses implications, ces tables rondes tenteront de répondre aux questions suivantes : pourquoi continuer à faire de la philosophie politique? Plus encore, qu’est-ce que c’est que de faire de la philosophie politique aujourd’hui? Comment est-ce qu’elle se pratique? Et qu’est-ce que cette pratique nous dit de ce que la philosophie politique est appelée à devenir?

    14:00 - 17:10 EDT
    Salle 2

    Regards philosophiques sur les violences conjugales et intimes basées sur le genre

    Au Québec, les statistiques de violences conjugales et de féminicides sont en hausse constante depuis plusieurs années. Les organismes de défense des droits des femmes le répètent : les femmes sont le plus susceptibles de subir de la violence de la part de leurs proches, dans leur intimité. Dénonçant le caractère mythique de l’homme violent comme monstre, comme exception, les féministes mettent alors de l’avant la banalité du phénomène. Ce mouvement théorique est soutenu par une compréhension du spectre des violences : le féminicide n’est pas une exception ou une cassure, mais se produit toujours en continuité de la violence verbale, psychologique, financière, sexuelle, physique, perpétrées par un homme violent. Face à ce constat, nous proposons de porter sur le phénomène des violences conjugales et intimes basées sur le genre une nouvelle attention philosophique. Quelles conceptions philosophiques de la violence ou de la domination peuvent nous aider à mieux les cerner ? Comment penser la responsabilité des coupables et de l’entourage ? Quelles exigences de justice doivent nous guider dans la réparation des victimes ? Cette table ronde vise à aborder le sujet des violences conjugales et intimes basées sur le genre, dans une perspective philosophique pluraliste, pour en dégager les enjeux théoriques et épistémologiques, éthiques, moraux et politiques.

    14:00 - 17:00 EDT
    Salle 3

    Session de communications individuelles (E)

    Président de séance : Marc-Kevin Daoust.

    17:00

    Canada/Eastern

    2 sessions parallèles
    17:00 - 19:00 EDT
    Espace central

    Cocktail de cloture du CEEP

    17:00 - 19:00 EDT
    Salle 7

    Discussion politique avec Eric Martin et Jean Vioulac.

    Retrouvez nous mardi le 4 juin de 17:00 à 19:00 pour une discussion conviviale en compagnie d'Eric Martin et de Jean Vioulac, et qui portera sur le thème « Philosophie & révolution ».

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